Invitations pour les membres de l'Académie
Mémoires d'un tricheur
de Sacha Guitry, mise en scène Eric-Emmanuel Scmitt
Invitations pour les membres de l'Académie
Comédiens !
de Samuel Sené et Eric Chantelauze, mise en scène Samuel Sené


Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
Le Chemin des dames
de Bruno Jarrosson, mise en scène d' Yves Carlevaris
Miracle en Alabama
de William Gibson, mise en scène Pierre Val


Miracle en Alabama
de William Gibson, mise en scène Pierre Val
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
Histoire du soldat
de Ramuz et Stravinsky, mise en scène Stéphan Druet
Histoire du soldat
de Ramuz et Stravinsky, mise en scène Stéphan Druet
NOMINATION 2018 : SPECTACLE MUSICAL
NOMINATION 2018 : SPECTACLE MUSICAL
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
L'Angoisse du roi Salomon
adaptation et mise en scène de Bruno Abraham-Kremer et Corine Juresco
Marie Tudor
de Victor Hugo, adaptation et mise en scène Pascal Faber
Les Virtuoses
de Mathias et Julien Cadez
Invitations pour les membres de l'Académie





BANDE ANNONCE
Les Démons
s'après Fiodor Dostoïevski
mise en scène Guy Cassiers

RÉSUMÉ
L’auteur est en exil quand il débute l’écriture de ce roman pamphlétaire, après avoir assisté au Congrès de la paix à Genève en 1867, alors qu’en 1869 la Russie est secouée par l’assassinat d’un étudiant insoumis fomenté par l’activiste révolutionnaire Serge Nétchaïev. Dans tous ses projets théâtraux, notamment son Triptyque du pouvoir, présenté au Festival d’Avignon en 2007 et 2008, Guy Cassiers porte attention aux points de rupture dans l’histoire européenne. Comme pour Albert Camus, qui compte parmi les nombreux adaptateurs du roman, ces personnages possédés ne sont pas « des créatures absurdes » mais « des âmes déchirées ou mortes, incapables d’aimer et souffrant de ne pouvoir le faire, voulant et ne pouvant croire, qui sont celles mêmes qui peuplent aujourd’hui notre société et notre monde spirituel. »
Maître dans l’alliage de l’image vidéo et du jeu d’acteur, le metteur en scène conçoit un dispositif scénique innovant à même de faire résonner le conflit entre la génération des pères – des révolutionnaires de salon – et celle des jeunes nihilistes – manipulés au profit d’actions politiques radicales. La Salle Richelieu devient ainsi une chambre d’écho, celle d’une société minée par la manipulation des médias et la fanatisation. Les acteurs y offrent la construction, à vue, d’un monde artificiel, nourri par la frivolité, avant de mettre en œuvre sa destruction.