Invitations pour les membres de l'Académie
Mémoires d'un tricheur
de Sacha Guitry, mise en scène Eric-Emmanuel Scmitt
Invitations pour les membres de l'Académie
Comédiens !
de Samuel Sené et Eric Chantelauze, mise en scène Samuel Sené


Invitations pour les membres de l'Académie
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Le Chemin des dames
de Bruno Jarrosson, mise en scène d' Yves Carlevaris
Miracle en Alabama
de William Gibson, mise en scène Pierre Val


Miracle en Alabama
de William Gibson, mise en scène Pierre Val
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
Histoire du soldat
de Ramuz et Stravinsky, mise en scène Stéphan Druet
Histoire du soldat
de Ramuz et Stravinsky, mise en scène Stéphan Druet
NOMINATION 2018 : SPECTACLE MUSICAL
NOMINATION 2018 : SPECTACLE MUSICAL
Invitations pour les membres de l'Académie
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L'Angoisse du roi Salomon
adaptation et mise en scène de Bruno Abraham-Kremer et Corine Juresco
Marie Tudor
de Victor Hugo, adaptation et mise en scène Pascal Faber
Les Virtuoses
de Mathias et Julien Cadez
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BANDE ANNONCE
Music-Hall
de Jean-Luc Lagarce
mise en scène Glysleïn Lefever

RÉSUMÉ
L’auteur, entré au répertoire de la Comédie-Française en 2008 avec Juste la fin du monde, compose ici « un monologue à trois voix » pour la Fille, chanteuse à la jeunesse lointaine, nostalgique d’une époque qu’elle a rêvée ou vécue, et pour ses deux Boys, fidèles compagnons d’itinérance qui ont partagé les paillettes comme la noirceur de sa vie.
Pour Glyslein Lefever, chorégraphe et metteuse en scène, ce music-hall est la métaphore d’un lieu de passage, de ville en ville, d’âge en âge, d’étape en étape. Un corridor. À l’écoute de cette partition rythmée, elle mise sur une scénographie où les effets de transparence et la magie de la lumière élargissent le sens de l’histoire, dont on ne sait finalement si elle se déroule dans un petit cabaret décati, une salle d’attente ou un couloir d’hôpital…
La Fille rejoue sans cesse son entrée en scène – quête inépuisable de reconnaissance –, ses Boys se laissent emporter dans ce mouvement mémoriel et perpétuel, extrêmement poétique. Comme dans l’ensemble de son œuvre, c’est aussi Jean-Luc Lagarce qui se raconte à travers eux. Travaillant avec les acteurs la précision de la langue ciselée de l’auteur, la metteuse en scène cadence l’expressivité des corps, épuisés mais toujours animés d'un amour débordant de la scène, aspirant à l’ailleurs tout en étant profondément attachés aux feux, même brinquebalants, des projecteurs.
Le texte est publié par les Solitaires Intempestifs.
En partenariat avec Collectif Corridor