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Spectacle éligible aux Molières 2025

La tendresse

De Julie Berès

Mise en scène Julie Berès

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En tournée 24/25 

  • le 2 avril 2024 : L'Odyssée (Périgueux)

  • le 5 avril 2024 : CIRCa (Auch)

  • du 9 au 10 avril 2024 : Scène nationale du Sud-Aquitain (Bayonne)

  • le 12 avril 2024 : Théâtre de Gascogne (Mont-de-Marsan)

  • du 17 au 18 avril 2024 : Salle Thélème (Tours)

  • le 23 avril 2024 : Maison de la culture de Tournai (Tournai)

  • le 26 avril 2024 : Théâtre de Rungis (Rungis)

  • du 2 au 3 mai 2024 : Maison de la Musique de Nanterre (Nanterre)

  • le 7 mai 2024 : MA Scène nationale - Pays de Montbéliard (Montbéliard)

  • le 13 mai 2024 : Le Parvis (Ibos)

  • le 16 mai 2024 : L'Estive (Foix)

  • du 22 au 13 mai 2024 : Château Rouge (Annemasse)

  • du 8 au 11 octobre 2024 : Bonlieu Scène nationale (Annecy)

  • du 5 au 6 novembre 2024 : L'Archipel (Perpignan)

  • du 12 au 13 novembre 2024 : Le Quai - Centre dramatique national Pays de la Loire (Angers)

  • du 9 au 10 janvier 2025 : Dieppe Scène nationale (Dieppe)

  • du 12 février 2025 : Théâtre du Passage (Neuchâtel) 

RÉSUMÉ

Un spectacle en diptyque avec Désobéir

« Le spectacle Désobéir, que nous avons créé en novembre 2017, interrogeait la façon dont, en disant « non », des jeunes femmes issues de la deuxième ou troisième génération d’immigration en France, ouvraient leur voix/voie, s’inventaient, en-dehors des injonctions familiales, sociales ou traditionnelles.

Pour La Tendresse, nous sommes allés à la rencontre de jeunes hommes, pour questionner chacun sur son lien au masculin et à la virilité à travers différentes sphères intimes et sociales, la famille, la sexualité, le monde du travail, la justice, la projection dans l’avenir... Nous souhaitons raconter l’histoire de ces hommes qui se débattent avec les clichés du masculin, les injonctions de la société, les volontés de la tradition et les assises du patriarcat.

Dans le droit fil de Désobéir, je continue à travailler avec les auteurs Alice Zeniter et Kevin Keiss.

Ensemble, nous poursuivons notre diptyque sur la jeunesse et la résilience, sur leurs constructions, leurs fragilités et leurs paradoxes. Nous nous appuyons sur des parcours de vie et des témoignages pour qu’inexorablement l’intime puisse se mêler à l’éminemment politique.

Nous poursuivons notre désir d’élaborer un théâtre performatif dans un dispositif qui permette une adresse intime. Nous souhaitons une adresse directe au public susceptible de générer de l’empathie, de l’espoir et une libération. »

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