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Les nommés du Molière du Comédien dans un second rôle 2019

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Pierre Benoist

dans Kean

D'Alexandre Dumas

Adaptation Jean-Paul Sartre

Mise en scène Alain Sachs

Kean raconte l’histoire d’un fameux acteur anglais qui triomphe au Théâtre Royal de Drury Lane, et que tout Londres, au début du XIXe siècle, court acclamer. Mais chez Kean l’homme et le comédien se confondent bien souvent... Un soir, submergé par ses passions amoureuses, Kean explose en pleine représentation d’Othello.

Le Kean de Dumas, c’est ni plus ni moins la quintessence même du Théâtre. Dans une profusion de couleurs et d’émotions où le comique et le tragique se côtoient sans vergogne, tous les plus grands thèmes y sont abordés. La quête d’absolu, le donjuanisme, le pouvoir, la folie... Appel enflammé à toutes les résistances, hymne effréné à la liberté, il mêle l’imagination fiévreuse et flamboyante d’un Dumas à l’insolente modernité d’un Sartre.

Un jeu de miroirs permanent, une véritable machine à jouer, poussant sans retenue les acteurs jusqu’à l’ivresse de tous les plaisirs réunis de la scène. 

Sebastien Castro credit Guillaume Malhei

Sébastien Castro

Prénom. N. m. du latin praenomen.
Nom particulier donné à la naissance, joint au nom patronymique, qui sert à distinguer les différentes personnes d’une même famille.

Quoi qu’il en soit, on ne devrait jamais le révéler à ses proches avant que l’enfant soit là. Non par superstition mais parce qu’il s’ensuit toujours et invariablement une discussion acharnée qui tourne à la fâcherie, voire au chaos.

Vincent (Florent Peyre), la quarantaine triomphante, va être père pour la première fois. Invité à diner chez Elisabeth (Marie-Julie Baup) et Pierre (Jonathan Lambert), sa sœur et son beau-frère, il y retrouve Claude (Sébastien Castro), un ami d’enfance. En attendant l’arrivée d’Anna (Lilou Fogli), sa jeune épouse éternellement en retard, on le presse de questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale…

Photo : Guillaume Malheiro

dans Le Prénom

De Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière

Mise en scène Bernard Murat

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Olivier Claverie

dans La Dégustation

d'Ivan Calbérac

Mise en scène Ivan Calbérac

Divorcé du genre bourru, et célibataire depuis trop longtemps, Jacques tient seul une petite cave à vins. Hortense, engagée dans l’associatif, tout proche de finir vieille fille, débarque un jour dans sa boutique et décide de s’inscrire à un atelier dégustation.

Mais pour que deux âmes perdues se reconnaissent, il faut parfois un petit miracle. Ce miracle s’appellera Steve, un jeune en liberté conditionnelle, qui, contre toute attente, va les rapprocher.

Et quand trois personnes issues d’univers si différents se rencontrent, c’est parfois un grand bonheur… Ou un chaos total. Chacun à leur manière, ils vont sérieusement déguster !

Photo : Corinne Vaglio

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Jacques Fontanel

dans Kean

D'Alexandre Dumas

Adaptation Jean-Paul Sartre

Mise en scène Alain Sachs

Kean raconte l’histoire d’un fameux acteur anglais qui triomphe au Théâtre Royal de Drury Lane, et que tout Londres, au début du XIXe siècle, court acclamer. Mais chez Kean l’homme et le comédien se confondent bien souvent... Un soir, submergé par ses passions amoureuses, Kean explose en pleine représentation d’Othello.

Le Kean de Dumas, c’est ni plus ni moins la quintessence même du Théâtre. Dans une profusion de couleurs et d’émotions où le comique et le tragique se côtoient sans vergogne, tous les plus grands thèmes y sont abordés. La quête d’absolu, le donjuanisme, le pouvoir, la folie... Appel enflammé à toutes les résistances, hymne effréné à la liberté, il mêle l’imagination fiévreuse et flamboyante d’un Dumas à l’insolente modernité d’un Sartre.

Un jeu de miroirs permanent, une véritable machine à jouer, poussant sans retenue les acteurs jusqu’à l’ivresse de tous les plaisirs réunis de la scène. 

Christophe_Montenez_credit_Stéphane_Lavo

Christophe Montenez

dans La Nuit des rois ou Tout ce que vous voulez

De William Shakespeare

Adaptation et mise en scène Thomas Ostermeier

Pour sa première création à la Comédie-Française, Thomas Ostermeier retrouve un auteur qu’il fréquente régulièrement. Réputé pour ses mises en scène alliant fidélité à la situation dramatique et liberté d’interprétation, le directeur de la Schaubühne de Berlin se concentre de plus en plus sur ce qu’il nomme l’acteur-créateur. Il fait ici entrer les comédiens en Illyrie, royaume de l’illusion et de l’artifice, auquel il donne la forme d’un paysage d’émotions à l’envers dangereux, où la folie rôde. Cette comédie des apparences conte l’histoire de Viola, rescapée d’un naufrage – comme son jumeau Sébastien dont elle n’ a pas de nouvelles – qui se travestit, prend le nom de Césario et offre ses services au duc Orsino. Charmé, ce dernier en fait son page et le charge de transmettre son amour à la Comtesse Olivia. Mais Césario/Viola, secrètement séduit(e) par le Duc, excelle si bien dans sa mission que la Comtesse s’éprend de son ardeur. Parallèlement, un quatuor, aux manœuvres éminemment comiques, révèle la face violente de la mascarade amoureuse tandis qu’un bouffon brille avec insolence dans la subversion du langage.

Photo : Stéphane Lavoué, coll. Comédie-Française

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François Vincentelli

dans Le Canard à l'orange

de William Douglas Home

Adaptation Marc-Gilbert Sauvajon

Mise en scène Nicolas Briançon

Hugh Preston est un animateur-vedette de télévision, marié depuis 15 ans à Liz qu’il trompe avec de nombreuses maîtresses.
Un vendredi soir, Hugh apprend que sa femme a un amant. Au pied du mur, elle avoue alors à Hugh sa liaison avec un homme avec qui elle compte partir le dimanche matin suivant.
Hugh offre à sa femme de prendre les torts à sa charge, et de se faire prendre en flagrant délit d’adultère au domicile conjugal avec sa secrétaire, et invite l’amant à passer le week-end à la maison.
Voici donc Liz (la femme), Hugh (le mari), John (l’amant), Patricia (la secrétaire de Hugh), plus Mme Grey (la gouvernante) et un canard récalcitrant, réunis pour un week-end au cours duquel Hugh, en joueur d’échecs qu’il est, va tout faire pour reconquérir sa reine.

Photo : Lisa Lesourd

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