Invitations pour les membres de l'Académie
Mémoires d'un tricheur
de Sacha Guitry, mise en scène Eric-Emmanuel Scmitt
Invitations pour les membres de l'Académie
Comédiens !
de Samuel Sené et Eric Chantelauze, mise en scène Samuel Sené
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
Le Chemin des dames
de Bruno Jarrosson, mise en scène d' Yves Carlevaris
Miracle en Alabama
de William Gibson, mise en scène Pierre Val
Miracle en Alabama
de William Gibson, mise en scène Pierre Val
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
Histoire du soldat
de Ramuz et Stravinsky, mise en scène Stéphan Druet
Histoire du soldat
de Ramuz et Stravinsky, mise en scène Stéphan Druet
NOMINATION 2018 : SPECTACLE MUSICAL
NOMINATION 2018 : SPECTACLE MUSICAL
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
Invitations pour les membres de l'Académie
L'Angoisse du roi Salomon
adaptation et mise en scène de Bruno Abraham-Kremer et Corine Juresco
Marie Tudor
de Victor Hugo, adaptation et mise en scène Pascal Faber
Les Virtuoses
de Mathias et Julien Cadez
Les nommés du Molière du Comédien dans un spectacle de Théâtre privé 2019
Nicolas Briançon
dans Le Canard à l'orange
de William Douglas Home
Adaptation Marc-Gilbert Sauvajon
Mise en scène Nicolas Briançon
Hugh Preston est un animateur-vedette de télévision, marié depuis 15 ans à Liz qu’il trompe avec de nombreuses maîtresses.
Un vendredi soir, Hugh apprend que sa femme a un amant. Au pied du mur, elle avoue alors à Hugh sa liaison avec un homme avec qui elle compte partir le dimanche matin suivant.
Hugh offre à sa femme de prendre les torts à sa charge, et de se faire prendre en flagrant délit d’adultère au domicile conjugal avec sa secrétaire, et invite l’amant à passer le week-end à la maison.
Voici donc Liz (la femme), Hugh (le mari), John (l’amant), Patricia (la secrétaire de Hugh), plus Mme Grey (la gouvernante) et un canard récalcitrant, réunis pour un week-end au cours duquel Hugh, en joueur d’échecs qu’il est, va tout faire pour reconquérir sa reine.
Photo : Shoky van der Horst
Bernard Campan
dans La Dégustation
d'Ivan Calbérac
Mise en scène Ivan Calbérac
Divorcé du genre bourru, et célibataire depuis trop longtemps, Jacques tient seul une petite cave à vins. Hortense, engagée dans l’associatif, tout proche de finir vieille fille, débarque un jour dans sa boutique et décide de s’inscrire à un atelier dégustation.
Mais pour que deux âmes perdues se reconnaissent, il faut parfois un petit miracle. Ce miracle s’appellera Steve, un jeune en liberté conditionnelle, qui, contre toute attente, va les rapprocher.
Et quand trois personnes issues d’univers si différents se rencontrent, c’est parfois un grand bonheur… Ou un chaos total. Chacun à leur manière, ils vont sérieusement déguster !
Benoit Solès
dans La Machine de Turing
de Benoit Solès
Mise en scène Tristan Petitgirard
L’incroyable destin d’Alan Turing, le mathématicien anglais qui a brisé le code secret de l’Enigma allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.
Turing a construit une machine pensante qui se révèlera être le premier ordinateur. Contraint au silence par les services secrets, il fut condamné pour homosexualité, avant de se suicider en croquant une pomme empoisonnée rappelant étrangement un célèbre logo…
« Vous est-il déjà arrivé de détenir un secret, un grand secret ? Non ?
Dans ce cas, vous ignorez combien il peut être difficile de le garder pour soi.
De toutes les choses immatérielles, le silence est l’une des plus lourde à porter.
Et justement, ma vie était remplie de secrets…
Avez-vous déjà entendu parler de l’Enigma ?
Bien sûr que non, comment le pourriez-vous ?
Alors, c’est le moment d’être bien attentif. »
Lambert Wilson
dans Le Misanthrope
de Molière
Mise en scène Peter Strein
Molière écrit Le Misanthrope « ou L’Atrabilaire amoureux » avec l’énergie d’un être révolté. Une fougue contre la trahison, contre les gens de la cour qui font et défont les réputations.
En opposant à la vanité du monde l’amour absolu d’Alceste (Lambert Wilson) pour Célimène, Molière exprime une intransigeance, un idéalisme qui défieront le temps. Une pièce décrite par ses contemporains comme « le portrait du siècle », un chef d’œuvre.
Faut-il fuir ce que l’on exècre et se retirer du monde ? Ou sommes-nous condamnés à composer avec nos semblables ?
Le THÉÂTRE LIBRE accueille pour son premier lever de rideau théâtral, une rencontre exceptionnelle entre cette œuvre magistrale, d’une saisissante modernité, et la vision d’un Maître, Peter Stein, au sommet de son art.